Les 10 commandements pour atteindre votre objectif.

Les 10 actions concrètes pour atteindre vos objectifs.
*      1*Décidez ce que vous voulez. Faire savoir au seigneur ou à l’univers ce que vous voulez. Passez commande à l’univers ou au seigneur.


*      2*Croyez que  vous pouvez l’avoir, que vous  le méritez et que c’est possible pour vous. Croire que c’est déjà à vous, que c’est entrain de venir. Remplacez le doute pas un sentiment de foi inébranlable dans la réussite. Croyez à l’invisible.


*      3*Puis fermez les yeux tous les jours pendant plusieurs minutes et visualisez ce que vous voulez  et ressentez le sentiment de l’avoir. Commencez à vous en réjouir, ressentez la joie que vous aurez. Ressentez-la tout de suite. Se sentir bien et heureux. Avoir le sentiment d’abondance, d’amour, de joie ou de bonheur.


*      4*Puis cessez et concentrez-vous sur ce dont vous êtes déjà reconnaissant. Soyez le vraiment…Réjouissez-vous en.  Etre reconnaissant de ce qu’on a déjà. Dire merci chaque matin.


*      5*Et démarrez votre journée en répandant ça dans l’univers. Croyez que l’univers trouvera comment le manifester.


*      6*Avoir peur de l’objectif qu’on s’est fixé est normal mais ne pas demeurer continuellement dans cette peur.


*      7*Passez à l’action permet de réussir son objectif. Une foi sans action est une foi vaine.


*      8*Tout est possible à celui qui croire. Je passe à l’action. Aller vers le bonheur pour pouvoir l’atteindre.


*      9*Etre engagé à être riche. C’est par le travail qu’on va y arriver. « Quelles sont les actions que je vais mettre en place aujourd’hui pour me rapprocher de mon but ».


*      10*Se répétez continuellement « Seigneur donne moi la force de passer à l’action ».  

                                                                                    Votre opinion nous intéresse beaucoup.Merci.
      

Comment acquérir confiance en soi?

Le grand psychologue William James nous rappelle : « N’ayez pas peur de la vie. Vous devez croire qu’elle vaut d’être vécue et cette confiance sera confirmée par la réalité». La seconde forme d’assurance est celle qui concerne les qualités intellectuelles. Voici une liste de douze capacité, dont chacune peut suffire à elle seule à donner de l’assurance: Degré d’intelligence. Mémoire. Habileté aux mathématiques. Capacité d’expression littéraire. Capacité d’observation. Aptitudes logiques. Connaissances historiques, littéraires, scientifiques et philosophiques. Connaissance du monde contemporain. Sensibilité artistique. Habilité mécanique. Sens de la direction et du commandement. Sens des rapports humains.
Découvrez, à travers l’examen de votre comportement passé et présent, quelle est la capacité où vous possédez le plus d’assurance et cherchez à l’améliorer encore. En  même temps, efforcez-vous de développer aussi les autres capacités vers lesquelles vous vous sentez attiré et qu’en pratique, pourront vous aider à vous affirmer.
Utiliser la même technique pour découvrir les points forts et les points faibles de vos capacités professionnelles, en envisageant notamment les éléments suivants :
*Déterminez quelles sont vos faiblesses sur le plan professionnel : connaissance technique, habileté, résistance physique, intérêt, capacité d’adaptation au milieu, motivation, capacité d’imagination.
*Concentrez votre action sur les points faibles et abordez les problèmes un pas un.
*Augmentez votre confiance en vous en prenant conscience des progrès que vous avez déjà réussi à accompli.

Respire !...Respirer, c’est vivre.


Les règles de la bonne respiration. Aérez votre chambre et lieu de travail. Deux fois par jour, respirez profondément durant dix minutes dans un endroit où l’air est pur.
Pour bien dynamiser l’organisme, respirez «  en carré »  deux fois par jour, dix minutes chaque fois.
*expirez l’aire sans à coups ni crispation, en comptant mentalement : « 1, 2, 3, 4 »  
*les poumons vides, sans efforts, comptez mentalement : « 1, 2, 3, 4 »
*inspirez l’air sans à coup ni crispations, en comptant : « 1, 2, 3, 4 »
*les poumons pleins, sans effort, comptez mentalement : « 1, 2, 3, 4 » et recommencez..
La respiration abdominale nous calme. Apprendre à respirer souplement, sans crispations ni angoisses.                                                  

La réussite est possible.


Chaque être est particulier, chaque cas mérite d’être vécu. C’est uniquement en se forgeant un moral jovial, de conquête et d’espoir qu’on peut vivre quelque chose d’assez spécial, d’exceptionnel. Chaque fois concentrez vous sur une chose afin de bien l’accomplir quelque soit le domaine.

LE MESSAGE QUE STEVE JOBS A LAISSER POUR VOUS


   


De:
"[Histoire du Cl-Positif] Christian" <christian.godefroy@gmail.com>


Le message que Steve Jobs a laissé pour vous sur la vie, la mort et les raisons de son « C'est un honneur de me trouver parmi vous aujourd'hui et d'assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du  monde.
   
    Je n'ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n'ai même jamais été témoin d'une remise de diplômes dans une université.
   
    Je veux vous faire partager aujourd'hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C'est tout. Rien d'extraordinaire. Juste 3 expériences.
   
    « Pourquoi j'ai eu raison de laisser  tomber l'université »
   
    La première concerne les incidences imprévues. J'ai abandonné mes études au
  Reed College au bout de six mois, mais  j'y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement.
   
    Pourquoi n'ai-je pas poursuivi ?
   
    Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents  adoptifs.
   
    Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu'ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d'attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit :
   
    « Nous avons un petit garçon qui n'était pas prévu. Le voulez-vous ? »
   
    Ils répondirent : « Bien sûr. »
   
    Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n'avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n'avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d'adoption et ne s'y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j'irais à  l'université.
   
    17 ans plus tard, j'entrais donc à l'université.
   
    Mais j'avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de  scolarité.
   
    Au bout de 6 mois, je n'en voyais toujours pas la justification. Je  n'avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n'imaginais pas comment l'université pouvait m'aider à
  trouver ma voie. J'étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant.
   
    Je décidai donc de laisser tomber.
   
    Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c'est un des meilleurs choix que j'aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j'abandonnais les matières obligatoires qui
  m'ennuyaient pour suivre les cours qui  m'intéressaient.
   
    Tout n'était pas rose. Je n'avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis.
   
    Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la
  ville et m'offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal.
   
    Et ce que je découvris alors, guidé  par ma curiosité et mon intuition, se  révéla inestimable à l'avenir. Laissez-moi vous donner un exemple :
   
    le Reed College dispensait  probablement alors le meilleur enseignement de typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était
  parfaitement calligraphiée.
   
    Parce que je n'avais pas à suivre de cours obligatoire, je décidai de  m'inscrire en classe de calligraphie.
   
    C'est ainsi que j'appris tout ce qui concernait l'empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d'une typographie. C'était un art
  ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J'étais fasciné.
   
    Rien de tout cela n'était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie.
  Pourtant, 10 ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh,
  cet acquis me revint. Et nous l'incorporâmes dans le Mac.
   
    Ce fut le premier ordinateur doté d'une typographie élégante. Si je  n'avais pas suivi ces cours à l'université, le Mac ne posséderait pas  une telle variété de polices de caractères ni ces espacements  proportionnels.
   
    Et comme Windows s'est borné à copier le Mac, il est probable qu'aucun
  ordinateur personnel n'en disposerait. Si je n'avais pas laissé tomber mes
  études à l'université, je n'aurais  jamais appris la calligraphie, et les
  ordinateurs personnels n'auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j'étais à l'université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus  tard.
   
    On ne peut prévoir l'incidence qu'auront certains événements dans le futur ; c'est après coup seulement qu'apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu'ils joueront un
  rôle dans votre avenir. L'essentiel est de croire en quelque chose - votre destin, votre vie, votre karma, peu  importe. Cette attitude a toujours  marché pour moi, et elle a régi ma vie.
   
    « Pourquoi mon départ forcé d'Apple  fut salutaire »
   
    Ma deuxième histoire concerne la  passion et l'échec. J'ai eu la chance d'aimer très tôt ce que je faisais.
   
    J'avais 20 ans lorsque Woz [Steve  Wozniak, le co-fondateur d'Apple  N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans  le garage de mes parents. Nous avons  ensuite travaillé dur et, 10 ans plus  tard, Apple était une société de plus de  4 000 employés dont le chiffre  d'affaires atteignait 2 milliards de  dollars. Nous venions de lancer un an  plus tôt notre plus belle création, le  Macintosh, et je venais d'avoir 30 ans.
   
    C'est alors que je fus viré.
   
    Comment peut-on vous virer d'une  société que vous avez créée ? C'est bien  simple, Apple ayant pris de  l'importance, nous avons engagé  quelqu'un qui me semblait avoir les  compétences nécessaires pour diriger  l'entreprise à mes côtés et, pendant la  première année, tout se passa bien.
   
    Puis nos visions ont divergé, et nous  nous sommes brouillés. Le conseil  d'administration s'est rangé de son  côté. C'est ainsi qu'à 30 ans je me suis  retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et  fracas. La raison d'être de ma vie  n'existait plus. J'étais en miettes.
   
    Je restais plusieurs mois sans savoir  quoi faire. J'avais l'impression d'avoir  trahi la génération qui m'avait précédé  - d'avoir laissé tomber le témoin au  moment où on me le passait. C'était un  échec public, et je songeais même à fuir  la Silicon Valley.
   
    Puis j'ai peu à peu compris une chose  - j'aimais toujours ce que je faisais.  Ce qui m'était arrivé chez Apple n'y  changeait rien. J'avais été éconduit,  mais j'étais toujours amoureux. J'ai
  alors décidé de repartir de zéro.
   
    Je ne m'en suis pas rendu compte tout  de suite, mais mon départ forcé d'Apple  fu salutaire. Le poids du succès fit  place à la légèreté du débutant, à une  vision moins assurée des choses. Une  liberté grâce à laquelle je connus l'une des périodes les plus créatives de ma  vie.
   
    Pendant les 5 années qui suivirent,  j'ai créé une société appelée NeXT et  une autre appelée Pixar, et je suis  tombé amoureux d'une femme  exceptionnelle qui est devenue mon  épouse.
   
    Pixar, qui allait bientôt produire le  premier film d'animation en trois  dimensions, Toy Story , est aujourd'hui  la première entreprise mondiale  utilisant cette technique. Par un
  remarquable concours de circonstances,  Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous  avions développée chez NeXT est  aujourd'hui la clé de la renaissance  d'Apple.
   
    Et Laurene et moi avons fondé une  famille merveilleuse.
   
    Tout cela ne serait pas arrivé si je  n'avais pas été viré d'Apple.
   
    La potion fut horriblement amère, mais  je suppose que le patient en avait  besoin.
   
    Parfois, la vie vous flanque un bon  coup sur la tête. Ne vous laissez pas  abattre. Je suis convaincu que c'est mon  amour pour ce que je faisais qui m'a  permis de continuer.
   
    Il faut savoir découvrir ce que l'on  aime et qui l'on aime. Le travail occupe
  une grande partie de l'existence, et la  seule manière d'être pleinement  satisfait est d'apprécier ce que l'on  fait.
   
    Sinon, continuez à chercher. Ne  baissez pas les bras. C'est comme en  amour, vous saurez quand vous aurez  trouvé. Et toute relation réussie  s'améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu'à ce que vous  trouviez.
   
    « Pourquoi la mort est la meilleure  chose de la vie »
   
    Ma troisième histoire concerne la  mort. A l'âge de 17 ans, j'ai lu une  citation qui disait à peu près ceci :
   
    « Si vous vivez chaque jour comme s'il  était le dernier, vous finirez un jour  par avoir raison. »
   
    Elle m'est restée en mémoire et,  depuis, pendant les 33 années écoulées,  je me suis regardé dans la glace le  matin en me disant :
   
    « Si aujourd'hui était le dernier jour  de ma vie, est-ce que j'aimerais faire  ce que je vais faire tout à l'heure ? »
   
    Et si la réponse est non pendant  plusieurs jours à la file, je sais que  j'ai besoin de changement.
   
    Avoir en tête que je peux mourir  bientôt est ce que j'ai découvert de  plus efficace pour m'aider à prendre des  décisions importantes. Parce que presque  tout - tout ce que l'on attend de  l'extérieur, nos vanités et nos fiertés,  nos peurs de l'échec - s'efface devant  la mort, ne laissant que l'essentiel.
   
    Se souvenir que la mort viendra un  jour est la meilleure façon d'éviter le  piège qui consiste à croire que l'on a  quelque chose à perdre. On est déjà nu.  Il n'y a aucune raison de ne pas suivre  son cœur.
   
    Il y a un an environ, on découvrait  que j'avais un cancer. A 7 heures du  matin, le scanner montrait que j'étais  atteint d'une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu'était le pancréas.
   
    Les médecins m'annoncèrent que c'était  un cancer probablement incurable, et que  j'en avais au maximum pour six mois. Mon  docteur me conseilla de rentrer chez moi  et de mettre mes affaires en ordre, ce  qui signifie :
   
    « Préparez-vous à mourir. »
   
    Ce qui signifie dire à ses enfants en  quelques mois tout ce que vous pensiez  leur dire pendant les 10 prochaines  années. Ce qui signifie essayer de  faciliter les choses pour votre famille.  En bref, faire vos adieux.
   
    J'ai vécu avec ce diagnostic pendant  toute la journée. Plus tard dans la  soirée, on m'a fait une biopsie,  introduit un endoscope dans le pancréas  en passant par l'estomac et l'intestin.  J'étais inconscient, mais ma femme, qui  était présente, m'a raconté qu'en  examinant le prélèvement au microscope,  les médecins se sont mis à pleurer, car  j'avais une forme très rare de cancer du  pancréas, guérissable par la chirurgie.  On m'a opéré et je vais bien.
   
    Ce fut mon seul contact avec la mort,  et j'espère qu'il le restera pendant  encore quelques dizaines d'années.
   
    Après cette expérience, je peux vous  le dire avec plus de certitude que  lorsque la mort n'était pour moi qu'un  concept purement intellectuel : personne  ne désire mourir.
   
    Même ceux qui veulent aller au ciel  n'ont pas envie de mourir pour y  parvenir. Pourtant, la mort est un  destin que nous partageons tous.  Personne n'y a jamais échappé. Et c'est
  bien ainsi, car la mort est probablement  ce que la vie a inventé de mieux.
   
    C'est le facteur de changement de la  vie. Elle nous débarrasse de l'ancien  pour faire place au neuf. En ce moment,  vous représentez ce qui est neuf, mais  un jour vous deviendrez progressivement  l'ancien, et vous laisserez la place aux  autres. Désolé d'être aussi dramatique,  mais c'est la vérité.
   
    Votre temps est limité, ne le gâchez  pas en menant une existence qui n'est  pas la vôtre.
   
    Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui  obligent à vivre en obéissant à la  pensée d'autrui. Ne laissez pas le  brouhaha extérieur étouffer votre voix  intérieure.
   
    Ayez le courage de suivre votre cœur  et votre intuition. L'un et l'autre  savent ce que vous voulez réellement  devenir. Le reste est secondaire.

    Dans ma jeunesse, il existait une  extraordinaire publication The Whole  Earth Catalog, l'une des bibles de ma  génération.
   
    Elle avait été fondée par un certain  Stewart Brand, non loin d'ici, à Menlo  Park, et il l'avait marquée de sa veine  poétique. C'était à la fin des années  1960, avant les ordinateurs et l'édition  électronique, et elle était réalisée  entièrement avec des machines à écrire,
  des paires de ciseaux et des appareils  Polaroid.
   
    C'était une sorte de Google en livre  de poche, 35 ans avant la création de
  Google. Un ouvrage idéaliste, débordant  de recettes formidables et d'idées  épatantes.
   
    Stewart et son équipe ont publié  plusieurs fascicules de The Whole Earth
  Catalog . Quand ils eurent épuisé la  formule, ils sortirent un dernier  numéro.
   
    C'était au milieu des années 1970, et  j'avais votre âge.
   
    La quatrième de couverture montrait la  photo d'une route de campagne prise au
  petit matin, le genre de route sur  laquelle vous pourriez faire de  l'auto-stop si vous avez l'esprit  d'aventure.
   
    Dessous, on lisait :
   
    « Soyez insatiables. Soyez fous. »
   
    C'était leur message d'adieu. Soyez  insatiables. Soyez fous.
   
   C'est le voeu que j'ai toujours formé  pour moi. Et aujourd'hui, au moment où  vous recevez votre diplôme qui marque le  début d'une nouvelle vie, c'est ce que  je vous souhaite.
   
    Soyez insatiables. Soyez fous.
   
    Merci à tous.»
   
  Steve Jobs 1955-2011
   
   
    Merci Steve!
   
   
    Christian Godefroy, www.cpositif.com
      

JETEZ VOS SOUCIS A LA MER

De:
"[Positif] Christian" <christian.godefroy@gmail.com>




  
    Pendant son exil sur l'île de Jersey, exilé, malade, persécuté par une France qu'il aimait tant, Victor Hugo montait chaque soir contempler le coucher de soleil sur la falaise.
  
    Là, il s'asseyait sur un banc et se livrait à de profondes méditations. A la fin, il se levait, choisissait un caillou plus ou moins gros et, du haut du rocher, le jetait avec satisfaction dans l'eau.
  
    Ce manège n'avait pas échappé au groupe d'enfants qui jouait dans le voisinage. Un soir, une petite fille plus hardie que ses compagnons s'approcha du grand homme.
  
    - Monsieur, pourquoi lancez-vous ces cailloux ?
  
    Le poète sourit gravement :
  
    - Ce ne sont pas des cailloux que je jette à la mer, mon enfant, ce sont mes  lamentations.
  
  _______________________________
  
    Cette action symbolique comporte une leçon valable pour le monde d'aujourd'hui. Combien d'entre nous, et non des plus malheureux, passent leur temps à se plaindre, à s'attendrir sur eux-mêmes ? Cette attitude finit par engendrer une sorte d'indifférence à nos semblables : on reste prisonnier d'un univers dont nous sommes le centre.
  
    Victor Hugo était un homme comme les autres : il lui arrivait de se plaindre. Mais, il avait au moins la  force de se débarrasser de ses jérémiades en les envoyant au loin. Ensuite, il redevenait réceptif au monde, aux autres. Vous aussi, apprenez à jeter vos petits soucis à la mer...
  
  "Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d'elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire."


    Victor Hugo