Tu es l’ouvrage
de Dieu, ta vie est un poème qu’il a commencé à écrire et n’a pas encore mit le
point final. De bonnes choses t’attendent et c’est à toi d’y croire pour
pouvoir les obtenir. La terre promise n’est plus loin. Que dieu te protège tout au long de la vie. Bonne année
2012.
UNE PRIERE POUR TOI.
Veille sur ton cœur de peur que tu tombe dans la
tentation. Car tu as du prix aux yeux de Dieu. Que le seigneur se révèle à toi
concernant ta destinée afin que tu prennes courage en face de toutes
situations. Bonne soirée.
Un dieu pour veiller sur toi, une étoile pour te
guider dans la nuit, un soleil pour t’ouvrir le jour, une prière pour
t’accompagner dans tes actions et ce texte pour te souhaiter bonne journée et avoir de tes news.
VIVRE AU PRESENT
Hier est mort et ne reviendra jamais. Demain n’est qu’une espérance qu’on
n’est pas sûr de voir. Assumes aujourd’hui sans accuser hier et sans rien
remettre à demain. Que dieu te garde et te donne paix, joie, santé, longévité
et succès pour relever le défi.
Chacun à son heure de gloire
Souvent on croit avoir perdu le temps soit, par
rapport à notre âge, soit par rapport à nos promotionnaires. On est par fois déçu
de la vie quand notre temps de gloire tard à venir. Le bonheur n’a jamais été
collectif, il est individuel, nourri ta vie d’espoir et fais du courage ton credo. Crois fermement en
ce que tu fais et fais-le bien. Votre heure sonnera un jour. Bonne journée ou
bonne nuit à vous.
L'ARBRE MAGIQUE
"Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser des Souhaits".
Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.
Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté de lui.
Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.
« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.
L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.
« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »
Un tigre surgit aussitôt et le dévora."
Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.
Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.
« J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures succulentes.
L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire.
« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »
Un tigre surgit aussitôt et le dévora."
Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.
Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.
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UNE FORME SIMPLE DE MÉDITATION
Voici une forme simple de méditation :
1. Asseyez-vous dans une bonne chaise en position confortable.
2. Détendez tous vos muscles autant que vous pouvez.
3. Cessez de penser à n'importe quoi, ou essayez au moins de ne pas penser à n'importe quoi.
4. Expirez en détendant tous les muscles de votre appareil respiratoire.
5. Répétez cela pendant 10 à 20 minutes :
a. Inspirez tellement profondément jusqu'à ce que vous sentiez que vous avez assez d'oxygène.
b. Expirez en détendant complètement votre poitrine et votre diaphragme.
c. Chaque fois que vous expirez, pensez au mot « un » ou tout autre mot simple à l'intérieur de vous-même. Vous devriez penser le mot d'une façon prolongée, et de sorte que vous l'entendiez à l'intérieur de vous. Utilisez votre voix intérieure et essayez d'éviter de le prononcer normalement.
6. Si des pensées étrangères entrent, arrêtez simplement ces pensées d'une façon détendue, et continuez de vous concentrer sur votre respiration et le mot que vous répétez.
Pendant que vous procédez à cette méditation, vous devriez vous sentir davantage détendu dans votre corps et dans votre esprit, vous devriez aussi sentir que vous respirez régulièrement et plus efficacement et que la circulation du sang dans tout votre corps devient aussi plus efficace. Vous pouvez également sentir un plaisir mental croissant pendant toute la méditation.
LES EFFETS DE LA MÉDITATION SUR LES MALADIES
Comme tout exercice, la méditation peut être exagérée. Par conséquent vous ne devriez pas méditer trop longtemps ou trop concentré au point d'en ressortir exténué ou vidé mentalement.
La méditation peut parfois être un problème pour des personnes souffrant de maladies mentales, d'épilepsie, de problèmes cardiaques sérieux ou des maladies neurologiques. D'un autre côté, la méditation peut être utile dans le traitement de ces derniers.
Les gens souffrant de telles conditions devraient vérifier quels effets peuvent avoir les différents genres de méditation sur leurs propres problèmes de santé, avant de commencer à pratiquer la méditation. Si vous êtes dans l'une de ces conditions, il vous est recommandé d'apprendre la méditation avec l'aide d'un professeur, d'un psychologue ou d'un professionnel de la santé expérimenté qui emploie la méditation comme module de traitement pour des maladies
réelles.
Fabrice Béal
1. Asseyez-vous dans une bonne chaise en position confortable.
2. Détendez tous vos muscles autant que vous pouvez.
3. Cessez de penser à n'importe quoi, ou essayez au moins de ne pas penser à n'importe quoi.
4. Expirez en détendant tous les muscles de votre appareil respiratoire.
5. Répétez cela pendant 10 à 20 minutes :
a. Inspirez tellement profondément jusqu'à ce que vous sentiez que vous avez assez d'oxygène.
b. Expirez en détendant complètement votre poitrine et votre diaphragme.
c. Chaque fois que vous expirez, pensez au mot « un » ou tout autre mot simple à l'intérieur de vous-même. Vous devriez penser le mot d'une façon prolongée, et de sorte que vous l'entendiez à l'intérieur de vous. Utilisez votre voix intérieure et essayez d'éviter de le prononcer normalement.
6. Si des pensées étrangères entrent, arrêtez simplement ces pensées d'une façon détendue, et continuez de vous concentrer sur votre respiration et le mot que vous répétez.
Pendant que vous procédez à cette méditation, vous devriez vous sentir davantage détendu dans votre corps et dans votre esprit, vous devriez aussi sentir que vous respirez régulièrement et plus efficacement et que la circulation du sang dans tout votre corps devient aussi plus efficace. Vous pouvez également sentir un plaisir mental croissant pendant toute la méditation.
LES EFFETS DE LA MÉDITATION SUR LES MALADIES
Comme tout exercice, la méditation peut être exagérée. Par conséquent vous ne devriez pas méditer trop longtemps ou trop concentré au point d'en ressortir exténué ou vidé mentalement.
La méditation peut parfois être un problème pour des personnes souffrant de maladies mentales, d'épilepsie, de problèmes cardiaques sérieux ou des maladies neurologiques. D'un autre côté, la méditation peut être utile dans le traitement de ces derniers.
Les gens souffrant de telles conditions devraient vérifier quels effets peuvent avoir les différents genres de méditation sur leurs propres problèmes de santé, avant de commencer à pratiquer la méditation. Si vous êtes dans l'une de ces conditions, il vous est recommandé d'apprendre la méditation avec l'aide d'un professeur, d'un psychologue ou d'un professionnel de la santé expérimenté qui emploie la méditation comme module de traitement pour des maladies
réelles.
Fabrice Béal
Qu’est-ce que la méditation et comment méditer ?
Vous pouvez employer la méditation pour améliorer votre santé mentale et vos capacités, mais aussi pour améliorer votre santé physique. Certaines de ces techniques sont très simples, vous pouvez les apprendre à partir d'un livre ou d'un article, d'autres exigent les conseils d'un professeur qualifié de méditation.
Qu'est ce que la méditation ?
La plupart des techniques appelées méditation incluent ces composants :
1. Vous êtes assis ou allongé dans une position détendue.
2. Vous respirez régulièrement. Vous inspirez profondément pour obtenir assez d'oxygène. Quand vous expirez, vous détendez vos muscles de sorte que vos poumons soient bien vidés, mais sans tensions.
3. Vous cessez de penser aux problèmes et aux soucis quotidiens.
4. Vous concentrez vos pensées sur un certain bruit, un certain mot que vous répétez, une certaine image, un certain concept abstrait ou un certain sentiment. Votre attention entière devrait être dirigée sur l'objet sur lequel vous avez choisi de vous concentrer.
5. Si quelques pensées étrangères s'introduisent, bloquez cette pensée étrangère, et retournez à l'objet de la méditation.
Les différentes techniques de méditation diffèrent selon le degré de concentration et selon comment des pensées étrangères sont traitées. Dans certaines techniques, l'objectif est de se concentrer tellement intensément qu'aucune pensée étrangère ne peut se produire.
Dans d'autres techniques, la concentration est plus détendue de sorte que les pensées étrangères arrivent facilement. Quand ces pensées étrangères sont découvertes, on les bloque et on retourne à la méditation pure d'une façon décontractée. Les pensées qui viendront à l'esprit, seront souvent des choses que vous avez oubliées ou supprimées et elles vous permettront de redécouvrir des choses cachées dans votre mémoire. Cette redécouverte aura un effet
psychothérapeutique.
LES EFFETS DE LA MÉDITATION
La méditation a les effets suivants :
1. La méditation vous apportera le repos et la récréation.
2. Vous apprendrez à vous détendre.
3. Vous apprendrez à mieux vous concentrer sur la résolution des problèmes.
4. La méditation a souvent un bon effet sur la tension artérielle.
5. La méditation a des effets bénéfiques sur des processus intérieurs du corps, comme la circulation, la respiration et la digestion.
6. La méditation régulière aura un effet psychothérapeutique.
7. La méditation régulière facilitera le système immunitaire.
8. La méditation est habituellement plaisante.
LA DIFFÉRENCE ENTRE L'HYPNOSE ET LA MÉDITATION
L'hypnose peut avoir certains effets relaxants et psychothérapeutiques identiques à ceux obtenus par la méditation. Cependant, quand vous méditez vous prenez les commandes vous-même ; par l'hypnose vous avez laissé une autre personne prendre les commandes. D'autre part, l'hypnose n'aura pas un effet de formation sur votre capacité de concentration.
Qu'est ce que la méditation ?
La plupart des techniques appelées méditation incluent ces composants :
1. Vous êtes assis ou allongé dans une position détendue.
2. Vous respirez régulièrement. Vous inspirez profondément pour obtenir assez d'oxygène. Quand vous expirez, vous détendez vos muscles de sorte que vos poumons soient bien vidés, mais sans tensions.
3. Vous cessez de penser aux problèmes et aux soucis quotidiens.
4. Vous concentrez vos pensées sur un certain bruit, un certain mot que vous répétez, une certaine image, un certain concept abstrait ou un certain sentiment. Votre attention entière devrait être dirigée sur l'objet sur lequel vous avez choisi de vous concentrer.
5. Si quelques pensées étrangères s'introduisent, bloquez cette pensée étrangère, et retournez à l'objet de la méditation.
Les différentes techniques de méditation diffèrent selon le degré de concentration et selon comment des pensées étrangères sont traitées. Dans certaines techniques, l'objectif est de se concentrer tellement intensément qu'aucune pensée étrangère ne peut se produire.
Dans d'autres techniques, la concentration est plus détendue de sorte que les pensées étrangères arrivent facilement. Quand ces pensées étrangères sont découvertes, on les bloque et on retourne à la méditation pure d'une façon décontractée. Les pensées qui viendront à l'esprit, seront souvent des choses que vous avez oubliées ou supprimées et elles vous permettront de redécouvrir des choses cachées dans votre mémoire. Cette redécouverte aura un effet
psychothérapeutique.
LES EFFETS DE LA MÉDITATION
La méditation a les effets suivants :
1. La méditation vous apportera le repos et la récréation.
2. Vous apprendrez à vous détendre.
3. Vous apprendrez à mieux vous concentrer sur la résolution des problèmes.
4. La méditation a souvent un bon effet sur la tension artérielle.
5. La méditation a des effets bénéfiques sur des processus intérieurs du corps, comme la circulation, la respiration et la digestion.
6. La méditation régulière aura un effet psychothérapeutique.
7. La méditation régulière facilitera le système immunitaire.
8. La méditation est habituellement plaisante.
LA DIFFÉRENCE ENTRE L'HYPNOSE ET LA MÉDITATION
L'hypnose peut avoir certains effets relaxants et psychothérapeutiques identiques à ceux obtenus par la méditation. Cependant, quand vous méditez vous prenez les commandes vous-même ; par l'hypnose vous avez laissé une autre personne prendre les commandes. D'autre part, l'hypnose n'aura pas un effet de formation sur votre capacité de concentration.
N’ABANDONNEZ JAMAIS
Quand les choses vont vraiment mal comme elles savent si bien le faire quelquefois,
Quand la route sur laquelle tu chemines péniblement semble s'achever au sommet d'une colline,
Quand les fonds sont bas et que les dettes culminent tu voudrais sourire, et tu dois pousser des soupirs,
Quand le souci te pousse dans la déprime, repose-toi si tu veux…mais n'abandonne pas.
La vie est si étrange avec ses revers et ses détours comme chacun de nous a pu l'apprendre un jour, et beaucoup qui ont été abattus par un échec auraient pu réussir s'ils avaient persévéré…
N'abandonne pas même si tout te semble aller lentement, car un autre souffle peut apporter la réussite.
Et tu ne peux jamais savoir à quelle distance se trouve le but, qui peut être très proche alors qu'il te semble si lointain.
Aussi, continue la lutte au plus fort du combat car c'est quand tout te semble perdu que tu ne dois pas abandonner.
Les 10 commandements pour atteindre votre objectif.
Les 10 actions concrètes pour atteindre vos objectifs.
1*Décidez ce que vous voulez. Faire savoir au seigneur ou à l’univers ce que vous voulez. Passez commande à l’univers ou au seigneur.
2*Croyez que vous pouvez l’avoir, que vous le méritez et que c’est possible pour vous. Croire que c’est déjà à vous, que c’est entrain de venir. Remplacez le doute pas un sentiment de foi inébranlable dans la réussite. Croyez à l’invisible.
3*Puis fermez les yeux tous les jours pendant plusieurs minutes et visualisez ce que vous voulez et ressentez le sentiment de l’avoir. Commencez à vous en réjouir, ressentez la joie que vous aurez. Ressentez-la tout de suite. Se sentir bien et heureux. Avoir le sentiment d’abondance, d’amour, de joie ou de bonheur.
4*Puis cessez et concentrez-vous sur ce dont vous êtes déjà reconnaissant. Soyez le vraiment…Réjouissez-vous en. Etre reconnaissant de ce qu’on a déjà. Dire merci chaque matin.
5*Et démarrez votre journée en répandant ça dans l’univers. Croyez que l’univers trouvera comment le manifester.
6*Avoir peur de l’objectif qu’on s’est fixé est normal mais ne pas demeurer continuellement dans cette peur.
7*Passez à l’action permet de réussir son objectif. Une foi sans action est une foi vaine.
8*Tout est possible à celui qui croire. Je passe à l’action. Aller vers le bonheur pour pouvoir l’atteindre.
9*Etre engagé à être riche. C’est par le travail qu’on va y arriver. « Quelles sont les actions que je vais mettre en place aujourd’hui pour me rapprocher de mon but ».
10*Se répétez continuellement « Seigneur donne moi la force de passer à l’action ».
Comment acquérir confiance en soi?
Le grand psychologue William James nous rappelle : « N’ayez pas peur de la vie. Vous devez croire qu’elle vaut d’être vécue et cette confiance sera confirmée par la réalité». La seconde forme d’assurance est celle qui concerne les qualités intellectuelles. Voici une liste de douze capacité, dont chacune peut suffire à elle seule à donner de l’assurance: Degré d’intelligence. Mémoire. Habileté aux mathématiques. Capacité d’expression littéraire. Capacité d’observation. Aptitudes logiques. Connaissances historiques, littéraires, scientifiques et philosophiques. Connaissance du monde contemporain. Sensibilité artistique. Habilité mécanique. Sens de la direction et du commandement. Sens des rapports humains.
Découvrez, à travers l’examen de votre comportement passé et présent, quelle est la capacité où vous possédez le plus d’assurance et cherchez à l’améliorer encore. En même temps, efforcez-vous de développer aussi les autres capacités vers lesquelles vous vous sentez attiré et qu’en pratique, pourront vous aider à vous affirmer.
Utiliser la même technique pour découvrir les points forts et les points faibles de vos capacités professionnelles, en envisageant notamment les éléments suivants :
*Déterminez quelles sont vos faiblesses sur le plan professionnel : connaissance technique, habileté, résistance physique, intérêt, capacité d’adaptation au milieu, motivation, capacité d’imagination.
*Concentrez votre action sur les points faibles et abordez les problèmes un pas un.
*Augmentez votre confiance en vous en prenant conscience des progrès que vous avez déjà réussi à accompli.
Respire !...Respirer, c’est vivre.
Les règles de la bonne respiration. Aérez votre chambre et lieu de travail. Deux fois par jour, respirez profondément durant dix minutes dans un endroit où l’air est pur.
Pour bien dynamiser l’organisme, respirez « en carré » deux fois par jour, dix minutes chaque fois.
*expirez l’aire sans à coups ni crispation, en comptant mentalement : « 1, 2, 3, 4 »
*les poumons vides, sans efforts, comptez mentalement : « 1, 2, 3, 4 »
*inspirez l’air sans à coup ni crispations, en comptant : « 1, 2, 3, 4 »
*les poumons pleins, sans effort, comptez mentalement : « 1, 2, 3, 4 » et recommencez..
La respiration abdominale nous calme. Apprendre à respirer souplement, sans crispations ni angoisses.
La réussite est possible.
Chaque être est particulier, chaque cas mérite d’être vécu. C’est uniquement en se forgeant un moral jovial, de conquête et d’espoir qu’on peut vivre quelque chose d’assez spécial, d’exceptionnel. Chaque fois concentrez vous sur une chose afin de bien l’accomplir quelque soit le domaine.
LE MESSAGE QUE STEVE JOBS A LAISSER POUR VOUS
De:
"[Histoire du Cl-Positif] Christian" <christian.godefroy@gmail.com>
Le message que Steve Jobs a laissé pour vous sur la vie, la mort et les raisons de son « C'est un honneur de me trouver parmi vous aujourd'hui et d'assister à une remise de diplômes dans une des universités les plus prestigieuses du monde.
Je n'ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n'ai même jamais été témoin d'une remise de diplômes dans une université.
Je veux vous faire partager aujourd'hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C'est tout. Rien d'extraordinaire. Juste 3 expériences.
« Pourquoi j'ai eu raison de laisser tomber l'université »
La première concerne les incidences imprévues. J'ai abandonné mes études au
Reed College au bout de six mois, mais j'y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement.
Pourquoi n'ai-je pas poursuivi ?
Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs.
Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu'ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d'attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit :
« Nous avons un petit garçon qui n'était pas prévu. Le voulez-vous ? »
Ils répondirent : « Bien sûr. »
Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n'avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n'avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d'adoption et ne s'y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j'irais à l'université.
17 ans plus tard, j'entrais donc à l'université.
Mais j'avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité.
Au bout de 6 mois, je n'en voyais toujours pas la justification. Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n'imaginais pas comment l'université pouvait m'aider à
trouver ma voie. J'étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant.
Je décidai donc de laisser tomber.
Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c'est un des meilleurs choix que j'aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j'abandonnais les matières obligatoires qui
m'ennuyaient pour suivre les cours qui m'intéressaient.
Tout n'était pas rose. Je n'avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis.
Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la
ville et m'offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal.
Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l'avenir. Laissez-moi vous donner un exemple :
le Reed College dispensait probablement alors le meilleur enseignement de typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était
parfaitement calligraphiée.
Parce que je n'avais pas à suivre de cours obligatoire, je décidai de m'inscrire en classe de calligraphie.
C'est ainsi que j'appris tout ce qui concernait l'empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d'une typographie. C'était un art
ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J'étais fasciné.
Rien de tout cela n'était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie.
Pourtant, 10 ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh,
cet acquis me revint. Et nous l'incorporâmes dans le Mac.
Ce fut le premier ordinateur doté d'une typographie élégante. Si je n'avais pas suivi ces cours à l'université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels.
Et comme Windows s'est borné à copier le Mac, il est probable qu'aucun
ordinateur personnel n'en disposerait. Si je n'avais pas laissé tomber mes
études à l'université, je n'aurais jamais appris la calligraphie, et les
ordinateurs personnels n'auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j'étais à l'université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.
On ne peut prévoir l'incidence qu'auront certains événements dans le futur ; c'est après coup seulement qu'apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu'ils joueront un
rôle dans votre avenir. L'essentiel est de croire en quelque chose - votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.
« Pourquoi mon départ forcé d'Apple fut salutaire »
Ma deuxième histoire concerne la passion et l'échec. J'ai eu la chance d'aimer très tôt ce que je faisais.
J'avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, 10 ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d'affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d'avoir 30 ans.
C'est alors que je fus viré.
Comment peut-on vous virer d'une société que vous avez créée ? C'est bien simple, Apple ayant pris de l'importance, nous avons engagé quelqu'un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l'entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien.
Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d'administration s'est rangé de son côté. C'est ainsi qu'à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d'être de ma vie n'existait plus. J'étais en miettes.
Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J'avais l'impression d'avoir trahi la génération qui m'avait précédé - d'avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C'était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley.
Puis j'ai peu à peu compris une chose - j'aimais toujours ce que je faisais. Ce qui m'était arrivé chez Apple n'y changeait rien. J'avais été éconduit, mais j'étais toujours amoureux. J'ai
alors décidé de repartir de zéro.
Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d'Apple fu salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l'une des périodes les plus créatives de ma vie.
Pendant les 5 années qui suivirent, j'ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d'une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse.
Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d'animation en trois dimensions, Toy Story , est aujourd'hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un
remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd'hui la clé de la renaissance d'Apple.
Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.
Tout cela ne serait pas arrivé si je n'avais pas été viré d'Apple.
La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin.
Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c'est mon amour pour ce que je faisais qui m'a permis de continuer.
Il faut savoir découvrir ce que l'on aime et qui l'on aime. Le travail occupe
une grande partie de l'existence, et la seule manière d'être pleinement satisfait est d'apprécier ce que l'on fait.
Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C'est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s'améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu'à ce que vous trouviez.
« Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie »
Ma troisième histoire concerne la mort. A l'âge de 17 ans, j'ai lu une citation qui disait à peu près ceci :
« Si vous vivez chaque jour comme s'il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. »
Elle m'est restée en mémoire et, depuis, pendant les 33 années écoulées, je me suis regardé dans la glace le matin en me disant :
« Si aujourd'hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j'aimerais faire ce que je vais faire tout à l'heure ? »
Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j'ai besoin de changement.
Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j'ai découvert de plus efficace pour m'aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout - tout ce que l'on attend de l'extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l'échec - s'efface devant la mort, ne laissant que l'essentiel.
Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d'éviter le piège qui consiste à croire que l'on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n'y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.
Il y a un an environ, on découvrait que j'avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j'étais atteint d'une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu'était le pancréas.
Les médecins m'annoncèrent que c'était un cancer probablement incurable, et que j'en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie :
« Préparez-vous à mourir. »
Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les 10 prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille. En bref, faire vos adieux.
J'ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m'a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l'estomac et l'intestin. J'étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m'a raconté qu'en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j'avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie. On m'a opéré et je vais bien.
Ce fut mon seul contact avec la mort, et j'espère qu'il le restera pendant encore quelques dizaines d'années.
Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n'était pour moi qu'un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir.
Même ceux qui veulent aller au ciel n'ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n'y a jamais échappé. Et c'est
bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux.
C'est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l'ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l'ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d'être aussi dramatique, mais c'est la vérité.
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre.
Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d'autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.
Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L'un et l'autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.
Je n'ai jamais terminé mes études supérieures. A dire vrai, je n'ai même jamais été témoin d'une remise de diplômes dans une université.
Je veux vous faire partager aujourd'hui trois expériences qui ont marqué ma carrière. C'est tout. Rien d'extraordinaire. Juste 3 expériences.
« Pourquoi j'ai eu raison de laisser tomber l'université »
La première concerne les incidences imprévues. J'ai abandonné mes études au
Reed College au bout de six mois, mais j'y suis resté auditeur libre pendant dix-huit mois avant de laisser tomber définitivement.
Pourquoi n'ai-je pas poursuivi ?
Tout a commencé avant ma naissance. Ma mère biologique était une jeune étudiante célibataire, et elle avait choisi de me confier à des parents adoptifs.
Elle tenait à me voir entrer dans une famille de diplômés universitaires, et tout avait été prévu pour que je sois adopté dès ma naissance par un avocat et son épouse. Sauf que, lorsque je fis mon apparition, ils décidèrent au dernier moment qu'ils préféraient avoir une fille. Mes parents, qui étaient sur une liste d'attente, reçurent un coup de téléphone au milieu de la nuit :
« Nous avons un petit garçon qui n'était pas prévu. Le voulez-vous ? »
Ils répondirent : « Bien sûr. »
Ma mère biologique découvrit alors que ma mère adoptive n'avait jamais eu le moindre diplôme universitaire, et que mon père n'avait jamais terminé ses études secondaires. Elle refusa de signer les documents définitifs d'adoption et ne s'y résolut que quelques mois plus tard, quand mes parents lui promirent que j'irais à l'université.
17 ans plus tard, j'entrais donc à l'université.
Mais j'avais naïvement choisi un établissement presque aussi cher que Stanford, et toutes les économies de mes parents servirent à payer mes frais de scolarité.
Au bout de 6 mois, je n'en voyais toujours pas la justification. Je n'avais aucune idée de ce que je voulais faire dans la vie et je n'imaginais pas comment l'université pouvait m'aider à
trouver ma voie. J'étais là en train de dépenser tout cet argent que mes parents avaient épargné leur vie durant.
Je décidai donc de laisser tomber.
Une décision plutôt risquée, mais rétrospectivement c'est un des meilleurs choix que j'aie jamais faits. Dès le moment où je renonçais, j'abandonnais les matières obligatoires qui
m'ennuyaient pour suivre les cours qui m'intéressaient.
Tout n'était pas rose. Je n'avais pas de chambre dans un foyer, je dormais à même le sol chez des amis.
Je ramassais des bouteilles de Coca-Cola pour récupérer le dépôt de 5 cents et acheter de quoi manger, et tous les dimanches soir je faisais 10 kilomètres à pied pour traverser la
ville et m'offrir un bon repas au temple de Hare Krishna. Un régal.
Et ce que je découvris alors, guidé par ma curiosité et mon intuition, se révéla inestimable à l'avenir. Laissez-moi vous donner un exemple :
le Reed College dispensait probablement alors le meilleur enseignement de typographie de tout le pays. Dans le campus, chaque affiche, chaque étiquette sur chaque tiroir était
parfaitement calligraphiée.
Parce que je n'avais pas à suivre de cours obligatoire, je décidai de m'inscrire en classe de calligraphie.
C'est ainsi que j'appris tout ce qui concernait l'empattement des caractères, les espaces entre les différents groupes de lettres, les détails qui font la beauté d'une typographie. C'était un art
ancré dans le passé, une subtile esthétique qui échappait à la science. J'étais fasciné.
Rien de tout cela n'était censé avoir le moindre effet pratique dans ma vie.
Pourtant, 10 ans plus tard, alors que nous concevions le premier Macintosh,
cet acquis me revint. Et nous l'incorporâmes dans le Mac.
Ce fut le premier ordinateur doté d'une typographie élégante. Si je n'avais pas suivi ces cours à l'université, le Mac ne posséderait pas une telle variété de polices de caractères ni ces espacements proportionnels.
Et comme Windows s'est borné à copier le Mac, il est probable qu'aucun
ordinateur personnel n'en disposerait. Si je n'avais pas laissé tomber mes
études à l'université, je n'aurais jamais appris la calligraphie, et les
ordinateurs personnels n'auraient peut-être pas cette richesse de caractères. Naturellement, il était impossible de prévoir ces répercussions quand j'étais à l'université. Mais elles me sont apparues évidentes dix ans plus tard.
On ne peut prévoir l'incidence qu'auront certains événements dans le futur ; c'est après coup seulement qu'apparaissent les liens. Vous pouvez seulement espérer qu'ils joueront un
rôle dans votre avenir. L'essentiel est de croire en quelque chose - votre destin, votre vie, votre karma, peu importe. Cette attitude a toujours marché pour moi, et elle a régi ma vie.
« Pourquoi mon départ forcé d'Apple fut salutaire »
Ma deuxième histoire concerne la passion et l'échec. J'ai eu la chance d'aimer très tôt ce que je faisais.
J'avais 20 ans lorsque Woz [Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple N.D.L.R.] et moi avons créé Apple dans le garage de mes parents. Nous avons ensuite travaillé dur et, 10 ans plus tard, Apple était une société de plus de 4 000 employés dont le chiffre d'affaires atteignait 2 milliards de dollars. Nous venions de lancer un an plus tôt notre plus belle création, le Macintosh, et je venais d'avoir 30 ans.
C'est alors que je fus viré.
Comment peut-on vous virer d'une société que vous avez créée ? C'est bien simple, Apple ayant pris de l'importance, nous avons engagé quelqu'un qui me semblait avoir les compétences nécessaires pour diriger l'entreprise à mes côtés et, pendant la première année, tout se passa bien.
Puis nos visions ont divergé, et nous nous sommes brouillés. Le conseil d'administration s'est rangé de son côté. C'est ainsi qu'à 30 ans je me suis retrouvé sur le pavé. Viré avec perte et fracas. La raison d'être de ma vie n'existait plus. J'étais en miettes.
Je restais plusieurs mois sans savoir quoi faire. J'avais l'impression d'avoir trahi la génération qui m'avait précédé - d'avoir laissé tomber le témoin au moment où on me le passait. C'était un échec public, et je songeais même à fuir la Silicon Valley.
Puis j'ai peu à peu compris une chose - j'aimais toujours ce que je faisais. Ce qui m'était arrivé chez Apple n'y changeait rien. J'avais été éconduit, mais j'étais toujours amoureux. J'ai
alors décidé de repartir de zéro.
Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite, mais mon départ forcé d'Apple fu salutaire. Le poids du succès fit place à la légèreté du débutant, à une vision moins assurée des choses. Une liberté grâce à laquelle je connus l'une des périodes les plus créatives de ma vie.
Pendant les 5 années qui suivirent, j'ai créé une société appelée NeXT et une autre appelée Pixar, et je suis tombé amoureux d'une femme exceptionnelle qui est devenue mon épouse.
Pixar, qui allait bientôt produire le premier film d'animation en trois dimensions, Toy Story , est aujourd'hui la première entreprise mondiale utilisant cette technique. Par un
remarquable concours de circonstances, Apple a acheté NeXT, je suis retourné chez Apple, et la technologie que nous avions développée chez NeXT est aujourd'hui la clé de la renaissance d'Apple.
Et Laurene et moi avons fondé une famille merveilleuse.
Tout cela ne serait pas arrivé si je n'avais pas été viré d'Apple.
La potion fut horriblement amère, mais je suppose que le patient en avait besoin.
Parfois, la vie vous flanque un bon coup sur la tête. Ne vous laissez pas abattre. Je suis convaincu que c'est mon amour pour ce que je faisais qui m'a permis de continuer.
Il faut savoir découvrir ce que l'on aime et qui l'on aime. Le travail occupe
une grande partie de l'existence, et la seule manière d'être pleinement satisfait est d'apprécier ce que l'on fait.
Sinon, continuez à chercher. Ne baissez pas les bras. C'est comme en amour, vous saurez quand vous aurez trouvé. Et toute relation réussie s'améliore avec le temps. Alors, continuez à chercher jusqu'à ce que vous trouviez.
« Pourquoi la mort est la meilleure chose de la vie »
Ma troisième histoire concerne la mort. A l'âge de 17 ans, j'ai lu une citation qui disait à peu près ceci :
« Si vous vivez chaque jour comme s'il était le dernier, vous finirez un jour par avoir raison. »
Elle m'est restée en mémoire et, depuis, pendant les 33 années écoulées, je me suis regardé dans la glace le matin en me disant :
« Si aujourd'hui était le dernier jour de ma vie, est-ce que j'aimerais faire ce que je vais faire tout à l'heure ? »
Et si la réponse est non pendant plusieurs jours à la file, je sais que j'ai besoin de changement.
Avoir en tête que je peux mourir bientôt est ce que j'ai découvert de plus efficace pour m'aider à prendre des décisions importantes. Parce que presque tout - tout ce que l'on attend de l'extérieur, nos vanités et nos fiertés, nos peurs de l'échec - s'efface devant la mort, ne laissant que l'essentiel.
Se souvenir que la mort viendra un jour est la meilleure façon d'éviter le piège qui consiste à croire que l'on a quelque chose à perdre. On est déjà nu. Il n'y a aucune raison de ne pas suivre son cœur.
Il y a un an environ, on découvrait que j'avais un cancer. A 7 heures du matin, le scanner montrait que j'étais atteint d'une tumeur au pancréas. Je ne savais même pas ce qu'était le pancréas.
Les médecins m'annoncèrent que c'était un cancer probablement incurable, et que j'en avais au maximum pour six mois. Mon docteur me conseilla de rentrer chez moi et de mettre mes affaires en ordre, ce qui signifie :
« Préparez-vous à mourir. »
Ce qui signifie dire à ses enfants en quelques mois tout ce que vous pensiez leur dire pendant les 10 prochaines années. Ce qui signifie essayer de faciliter les choses pour votre famille. En bref, faire vos adieux.
J'ai vécu avec ce diagnostic pendant toute la journée. Plus tard dans la soirée, on m'a fait une biopsie, introduit un endoscope dans le pancréas en passant par l'estomac et l'intestin. J'étais inconscient, mais ma femme, qui était présente, m'a raconté qu'en examinant le prélèvement au microscope, les médecins se sont mis à pleurer, car j'avais une forme très rare de cancer du pancréas, guérissable par la chirurgie. On m'a opéré et je vais bien.
Ce fut mon seul contact avec la mort, et j'espère qu'il le restera pendant encore quelques dizaines d'années.
Après cette expérience, je peux vous le dire avec plus de certitude que lorsque la mort n'était pour moi qu'un concept purement intellectuel : personne ne désire mourir.
Même ceux qui veulent aller au ciel n'ont pas envie de mourir pour y parvenir. Pourtant, la mort est un destin que nous partageons tous. Personne n'y a jamais échappé. Et c'est
bien ainsi, car la mort est probablement ce que la vie a inventé de mieux.
C'est le facteur de changement de la vie. Elle nous débarrasse de l'ancien pour faire place au neuf. En ce moment, vous représentez ce qui est neuf, mais un jour vous deviendrez progressivement l'ancien, et vous laisserez la place aux autres. Désolé d'être aussi dramatique, mais c'est la vérité.
Votre temps est limité, ne le gâchez pas en menant une existence qui n'est pas la vôtre.
Ne soyez pas prisonnier des dogmes qui obligent à vivre en obéissant à la pensée d'autrui. Ne laissez pas le brouhaha extérieur étouffer votre voix intérieure.
Ayez le courage de suivre votre cœur et votre intuition. L'un et l'autre savent ce que vous voulez réellement devenir. Le reste est secondaire.
Dans ma jeunesse, il existait une extraordinaire publication The Whole Earth Catalog, l'une des bibles de ma génération.
Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d'ici, à Menlo Park, et il l'avait marquée de sa veine poétique. C'était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l'édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire,
des paires de ciseaux et des appareils Polaroid.
C'était une sorte de Google en livre de poche, 35 ans avant la création de
Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d'idées épatantes.
Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth
Catalog . Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro.
C'était au milieu des années 1970, et j'avais votre âge.
La quatrième de couverture montrait la photo d'une route de campagne prise au
petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l'auto-stop si vous avez l'esprit d'aventure.
Dessous, on lisait :
« Soyez insatiables. Soyez fous. »
C'était leur message d'adieu. Soyez insatiables. Soyez fous.
C'est le voeu que j'ai toujours formé pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite.
Soyez insatiables. Soyez fous.
Merci à tous.»
Steve Jobs 1955-2011
Merci Steve!
Christian Godefroy, www.cpositif.com
Elle avait été fondée par un certain Stewart Brand, non loin d'ici, à Menlo Park, et il l'avait marquée de sa veine poétique. C'était à la fin des années 1960, avant les ordinateurs et l'édition électronique, et elle était réalisée entièrement avec des machines à écrire,
des paires de ciseaux et des appareils Polaroid.
C'était une sorte de Google en livre de poche, 35 ans avant la création de
Google. Un ouvrage idéaliste, débordant de recettes formidables et d'idées épatantes.
Stewart et son équipe ont publié plusieurs fascicules de The Whole Earth
Catalog . Quand ils eurent épuisé la formule, ils sortirent un dernier numéro.
C'était au milieu des années 1970, et j'avais votre âge.
La quatrième de couverture montrait la photo d'une route de campagne prise au
petit matin, le genre de route sur laquelle vous pourriez faire de l'auto-stop si vous avez l'esprit d'aventure.
Dessous, on lisait :
« Soyez insatiables. Soyez fous. »
C'était leur message d'adieu. Soyez insatiables. Soyez fous.
C'est le voeu que j'ai toujours formé pour moi. Et aujourd'hui, au moment où vous recevez votre diplôme qui marque le début d'une nouvelle vie, c'est ce que je vous souhaite.
Soyez insatiables. Soyez fous.
Merci à tous.»
Steve Jobs 1955-2011
Merci Steve!
Christian Godefroy, www.cpositif.com
JETEZ VOS SOUCIS A LA MER
De:
"[Positif] Christian" <christian.godefroy@gmail.com>
Pendant son exil sur l'île de Jersey, exilé, malade, persécuté par une France qu'il aimait tant, Victor Hugo montait chaque soir contempler le coucher de soleil sur la falaise.
Là, il s'asseyait sur un banc et se livrait à de profondes méditations. A la fin, il se levait, choisissait un caillou plus ou moins gros et, du haut du rocher, le jetait avec satisfaction dans l'eau.
Ce manège n'avait pas échappé au groupe d'enfants qui jouait dans le voisinage. Un soir, une petite fille plus hardie que ses compagnons s'approcha du grand homme.
- Monsieur, pourquoi lancez-vous ces cailloux ?
Le poète sourit gravement :
- Ce ne sont pas des cailloux que je jette à la mer, mon enfant, ce sont mes lamentations.
_______________________________
Cette action symbolique comporte une leçon valable pour le monde d'aujourd'hui. Combien d'entre nous, et non des plus malheureux, passent leur temps à se plaindre, à s'attendrir sur eux-mêmes ? Cette attitude finit par engendrer une sorte d'indifférence à nos semblables : on reste prisonnier d'un univers dont nous sommes le centre.
Victor Hugo était un homme comme les autres : il lui arrivait de se plaindre. Mais, il avait au moins la force de se débarrasser de ses jérémiades en les envoyant au loin. Ensuite, il redevenait réceptif au monde, aux autres. Vous aussi, apprenez à jeter vos petits soucis à la mer...
"Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d'elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire."
Victor Hugo
"[Positif] Christian" <christian.godefroy@gmail.com>
Pendant son exil sur l'île de Jersey, exilé, malade, persécuté par une France qu'il aimait tant, Victor Hugo montait chaque soir contempler le coucher de soleil sur la falaise.
Là, il s'asseyait sur un banc et se livrait à de profondes méditations. A la fin, il se levait, choisissait un caillou plus ou moins gros et, du haut du rocher, le jetait avec satisfaction dans l'eau.
Ce manège n'avait pas échappé au groupe d'enfants qui jouait dans le voisinage. Un soir, une petite fille plus hardie que ses compagnons s'approcha du grand homme.
- Monsieur, pourquoi lancez-vous ces cailloux ?
Le poète sourit gravement :
- Ce ne sont pas des cailloux que je jette à la mer, mon enfant, ce sont mes lamentations.
_______________________________
Cette action symbolique comporte une leçon valable pour le monde d'aujourd'hui. Combien d'entre nous, et non des plus malheureux, passent leur temps à se plaindre, à s'attendrir sur eux-mêmes ? Cette attitude finit par engendrer une sorte d'indifférence à nos semblables : on reste prisonnier d'un univers dont nous sommes le centre.
Victor Hugo était un homme comme les autres : il lui arrivait de se plaindre. Mais, il avait au moins la force de se débarrasser de ses jérémiades en les envoyant au loin. Ensuite, il redevenait réceptif au monde, aux autres. Vous aussi, apprenez à jeter vos petits soucis à la mer...
"Nous pouvons jeter des pierres, nous plaindre d'elles, trébucher dessus, les escalader, ou les utiliser pour construire."
Victor Hugo
EFT Emotional Freedom Techniques (Technique de Libération des émotions)
EFT Emotional Freedom Techniques (Libération des émotions)
Un outil universel pour la guérison et le bonheur.
Traduction du site de GARI GRAY :
http://www.emofree.com
http://www.emofree.com
Remerciement à Pivoine pour tout le contenu de ce blog :
http//www.secret-abondance.blogspot.com
EFT "EMOTIONAL FREEDOM TECHNIQUES" techniques de libération émotionnelle Une méthode d'acupuncture avec les doigts très facile à apprendre pour gérer tous les problèmes au quotidien. Les francophones n'ont pas la chance de pouvoir lire l'énorme base de données du site emofree.com c'est pourquoi j'ai choisi d'en publier régulièrement des extraits dans ce blog, car les anglophones en bénéficient gratuitement et c'est très important pour apprendre la manière créative et originale d'utiliser EFT pour soi-même et pour les autres.
GRATUIT
Pour apprendre la méthode EFT: TELECHARGER LE MANUEL EFT GRATUIT
dans le site : http://www.technique-eft.com/
et lire la page "Apprendre EFT" dans ce blog.
Pour le détail des points à utiliser, voir le schéma : http://secret-abondance.blogspot.com/2008/04/eft-dtail-des-points-dacupuncture.html
Puis lire les messages classés sous "EFT c'est quoi?" et "EFT comment?" pour commencer (ci-dessous)
EFT "EMOTIONAL FREEDOM TECHNIQUES" techniques de libération émotionnelle Une méthode d'acupuncture avec les doigts très facile à apprendre pour gérer tous les problèmes au quotidien. Les francophones n'ont pas la chance de pouvoir lire l'énorme base de données du site emofree.com c'est pourquoi j'ai choisi d'en publier régulièrement des extraits dans ce blog, car les anglophones en bénéficient gratuitement et c'est très important pour apprendre la manière créative et originale d'utiliser EFT pour soi-même et pour les autres.
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